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 Je suis le roi, le roi des cons —

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Avery Leroy

Avery Leroy


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Dernière édition par Avery Leroy le Sam 8 Sep - 21:58, édité 4 fois
MessageSujet: Je suis le roi, le roi des cons —   Je suis le roi, le roi des cons — EmptyDim 2 Sep - 21:36


AVERY&LALIE


je suis un homme de cro-magnon


Avery mit un certain temps avant d'émerger de son sommeil. À force d'essayer de butter des zombies dans ses jeux vidéo, il avait finit par rêver s'être fait mordre le cou par l'un d'entre eux et qu'à l'endroit de la morsure se soit mis à pousser une tête. Étrange mixe entre vampires et parasites, ça n'avait pas empêché le prince de sursauter quand sa seconde tête, d'abord indifférente envers son hôte, s'était mise à essayer de lui bouffer le nez. Quel appétit étrange, ces bordels-là !

Il se leva alors comme il put, les yeux encore fermés. Vérifiant d'abord quand même que sa copine la tête avait bien été un produit de son imagination, il regarda le dessous de son lit d'un geste, qui, selon son rêve, abritait un mystère sans nom qui l'empêchait, la nuit, de laisser pendre n'importe quel membre hors du lit de peur de se faire embarquer par cette créature. Une fois rassuré, il mit un pied-à-terre puis se leva aussitôt en posant l'autre sur la fermeture de son pantalon qui traînait par terre, ne manquant pas de le faire à nouveau hurler de douleur. Son hurlement, qu'il contenait néanmoins le plus possible en fermant obstinément la bouche, ressemblait beaucoup à un miaulement strident et cela lui donnait encore plus la chair de poule. Il partit alors en courant dans le couloir rejoindre la salle de bain, boitant comme un canard, puis il fonça sur l'un des nombreux miroirs accrochés aux murs. Il faisait encore un peu sombre et ses cheveux étaient en pétard... « Queeeeelle tête de mon cul », pensa-t-il sombrement avant d'essayer d'aplatir ses épis avec l'eau du robinet. Après s'être bien aspergé le visage d'eau glacée, il passa une serviette sur son visage et songea à faire demi-tour. Ses rétines avaient vraisemblablement décidé de le troller et ce fut avec horreur qu'en éteignant les lumières derrière lui, le court instant entre le sombre et la lumière lui avaient donné l'illusion de la tête flottant derrière lui à le regarder, prête à bondir sur son nez. Pas le temps de miauler, il ne put se contenir. Il se mit alors à fuir en courant vers la porte, les deux mains couvrant son nez, la défonçant à grand coup d'épaule. La porte n'était pas bien fermée donc l'effort employé pour l'ouvrir était exagéré et l'élan le fit se scratcher de manière pathétique sur le sol, manquant même de se péter le nez avec l'impact forcé sur ses avant-bras.

Entendant quelques curieux ouvrir les portes savoir ce qui pouvait bien foutre autant de bordel dans les couloirs, Avery se mit sur le côté, les jambes bien étendues et sa tête reposant sur son bras gauche, les yeux fermés. Il crut même entendre un "abruti" suivit d'un claquement de porte qui lui força le sourire. Une fois les portes de nouveau fermées, il se mit à ramper vers la porte juste en face de lui.

« Oh... ! »

Avery se remit donc debout et pensait enclencher la poignée de la porte lorsqu'il se rendit compte que ça faisait trop commun. Quitte à la réveiller, autant faire ça le plus propre possible. Il ouvrit la porte en grand, le sourire aux lèvres, revêtue d'un espèce de pyjama noir. Enfilant sa cagoule, il referma discrètement la porte derrière lui, se chuchotant des choses incompréhensibles. Parvenant à localiser sa keupine, il approcha à pas d'astronaute et manqua de tomber à plusieurs reprises en se prenant les pieds dans les fringues d'un élève. Arrivant enfin à la grosse masse de couvertures et d'oreillers qui écrasaient la demoiselle concernée, il laissa s'échapper un rire machiavélique le plus bas possible. Sachant parfaitement que faire le mariole en hurlant lui attirerait les foudres des surveillants du pensionnat, il s'approcha de ce qui ressemblait à une touffe de cheveux.

« Laaaalie... ? », se mit-il à chuchoter.

Pas de réponse.

« Laaaaalinouuu... ?! », marmonna-t-il avec plus de force.

Toujours pas de réponse.

« NINJAAAAA !! », siffla-t-il avec un effrayant bruit de gorge, toujours dans les tons bas pour éviter de réveiller les autres.

Ne voyant pas de réactions lui prouvant de manière irréfutable que Lucie était réveillée, il plongea la main sous les couvertures et attrapa ce qui semblait être un pied. Avery fit la grimace tout en tirant légèrement dessus puis il murmura.

« Si tu émerges pas des couvertures, je te lèche le pied... »
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Lalie Ashford

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MessageSujet: Re: Je suis le roi, le roi des cons —   Je suis le roi, le roi des cons — EmptyLun 3 Sep - 9:30


Il était une fois, deux ninja..
Avery & Lalie.


Tu dormais. Profondément. Tu dormais comme un bébé. Puis soudain, t'entends des bruits. Ton prénom plus exactement. Tu comprends pas. Tu te dis que tu rêves. T'attends un peu. Puis on t'attrape le pied. Tu sursautes.

« Si tu émerges pas des couvertures, je te lèche le pied... »

Tu retires immédiatement ton pied. T'aimes pas qu'on t'attrape comme ça en pleine nuit. Puis tu réfléchis à la voix que tu viens d'entendre. Sans aucun doute Avery, avec sa petite voix que tu connais par coeur tellement tu l'as entendu. Finalement, tu te décides à te lever.

« Aveeeery, pourquoi tu viens me réveiller en pleine nuit ? »

Au final, t'es certaine de connaître la réponse. Il a sans aucun doute une idée. Donc tu te lèves et tu vas fouiller dans ton armoire. Tu devines facilement qu'il faut du noir. Mais bon, le problème, c'est que tu vois rien à ce qu'il y'a dans ton armoire.

Tu retournes voir ton lit. Tu cherches ton oreiller, tu le trouves. Tu le soulèves et tu prends la lampe. T'as toujours cette habitude de mettre une lampe sous ton oreiller. Comme ça, si tu dois te lever en pleine nuit, tu la prends. Exactement comme en ce moment.

Bon. Re-direction l'armoire. Tu recherches ton t-shirt et ton pantalon noir. Connaissant Avery, tu vas en avoir besoin. Le problème ici, c'est qu'il y'a des vêtements partout. Comment tu peux trouver ce que tu cherches dans ce bordel ? Sur le coup, on devrait t'appeler Monsieur Propre. Même si tu ranges pas vraiment, tu mets juste tout en boule sur le lit.

Ah, enfin tu reconnais tes vêtements. Tu regardes Avery.

« Interdiction d'allumer les lumières, ok ? »

Tu éteints la lampe. Et même dans le noir, t'essaies de t'habiller. Puis tu crois y être arrivée. Tu cherches les étiquettes dans ton dos, pour être sûre que tes vêtements sont à l'endroit. Une étiquettes dans le cou, c'est bon. Une autre dans le bas du dos, c'est bon aussi. T'es prête pour l'expédition du siècle.

Tu rallumes la lampe, tu la pointe vers Avery. Le pauvre. Il se prend toute la lumière dans les yeux. Tu baisses la lampe vers le sol.

« Bon, chef Avery, que faisons nous maintenant ? »

Tu regardes à droite et à gauche de toi. Au cas où tu aurais oubliée quelque chose. Et oui, tu as oubliée quelque chose. Là, tu n'es absolument pas potable niveau coiffure.

« Attends un peu encore. Je suis pas potable du tout. »

Tu cherches un miroir. T'en trouves un. Tu te diriges vers lui, puis tu poses la lampe sur le meuble à côté. Tu te regardes et fais une grimace. Dans ta tête tu penses « Beuuurk. » Tu te recoiffes un peu. Finalement, tes cheveux t'énerves. T'arrives pas à les lisser avec tes mains. Tu ouvres le tiroir de la coiffeuse, puis tu pioches un élastique. Tu vas t'attacher les cheveux, ce sera plus simple.

« Voilà, je suis prête. On fait quoi maintenant ? »

Spoiler:
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Avery Leroy

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Dernière édition par Avery Leroy le Sam 8 Sep - 21:59, édité 3 fois
MessageSujet: Re: Je suis le roi, le roi des cons —   Je suis le roi, le roi des cons — EmptyLun 3 Sep - 13:40


AVERY&LALIE


je suis un singe ou un poisson


Face à la demoiselle, Avery semblait être une ombre avec un sourire blanc. Ça pouvait faire peur, une espèce de fantôme, ou même pire, un vampire, enfin. C'est dans l'imagination la plus extrême qu'Avery fit un sourire encore plus impressionnant, s'étirant jusqu'à ses oreilles. Une image semblable au célèbre chat Cheshire, il lâcha la cheville après que celle-ci répondu à son appel.

« J'ai une mission. »

Quelle était cette mission aussi pressante ? Encore une belle connerie de la part d'un génie pareil, qui était de voler les sous-vêtements de tous les mecs le plus discrètement possible. Comment allait-il s'y prendre ? Il n'en savait rien, mais voulait faire une connerie, énorme cette fois-ci. Comment ne pas rire lorsque des mâles se réveillent et se rendent compte qu'ils n'auront pas leurs petites culottes ? C'est qu'il devenait complètement taré, ce pauvre ninja. Habillé d'un vêtement moulant, il avait encore plus l'air ridicule, c'était une sorte de combinaison de plongée, au moins on ne pouvait pas le repérer à première vue. Celle-ci lui demanda de laisser la lumière éteinte, et c'est ce qu'il fit, ce n'était pas un pervers, loin d'un cas pareil, il se tourna même et, continuant à chuchoter, il commença les explications.

« Nous allons prendre tous les sous-vêtements des mecs et les planquer dans... dans un endroit, je sais pas où encore. Sous ton lit ? Ensuite on leurs écrira sur la tête et on préparera des pièges à droite à gauche, rien de plus amusant. »

À entendre, c'était tordu, mais en fait c'était surtout histoire de faire chier le monde. Se réveiller avec un "fuck me" sur le front, qu'est-ce qu'il y a de plus pire que ça ? N'abusant pas de la situation, il n'irait pas non plus chercher le zgeg ou on ne sait quoi, non, c'est un peu histoire de se venger, quoiqu'ils n'aient rien fait à Avery en particulier, c'était juste le coup de la plaisanterie.

« Oh... et, il faudrait qu'on arrive à avoir les copies des contrôles corrigés pour demain... t'es partante, assistante favorite ? ♥ »

Lalie se prépara alors jusqu'à sa coiffure, elle voulait vraiment être parfaite à n'importe quel moment, c'était plutôt drôle. Les filles étaient vraiment spéciales, et c'est ce qu'Avery aimait, ce côté "spéciale".

« Aurais-tu quelque chose à rajouter ? »

Il attendait ainsi la réponse tout en se frottant le visage qui le démangeait sous sa cagoule. Lunette au bout du nez, avec celles-ci il pouvait voir dans le noir comme en plein jour, ce qui était le plus drôle c'était les yeux de Lalie qui, avec l'effet du verre, étaient blancs. Ricanant comme à son habitude, il attrapa alors des chaussettes à son assistance et les mit, parce que bon, être entièrement noir et avoir des pieds nus, ça le faisait pas.
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Lalie Ashford

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MessageSujet: Re: Je suis le roi, le roi des cons —   Je suis le roi, le roi des cons — EmptyLun 3 Sep - 16:38


Attention, mission espion.
Avery & Lalie.


« J'ai une mission. »

Une mission. C'est fou comme tu t'y attendais en fait. C'était obligé que ce soit ça. Sinon, Avery ne serait pas venu te réveiller en pleine nuit.

« Nous allons prendre tous les sous-vêtements des mecs et les planquer dans... dans un endroit, je sais pas où encore. Sous ton lit ? Ensuite on leurs écrira sur la tête et on préparera des pièges à droite à gauche, rien de plus amusant. »

Même dans le noir total, tu esquisses un sourire. C'est bâtard de faire ça. T'aimes bien. T'es contente, ce gamin à toujours des idées. Puis aller voler les sous-vêtements des garçons.. Cette idée, tu l'aime bien. Elle est drôle. Elle te fais rire. De plus, c'est tordu, mais vraiment.

« Oh... et, il faudrait qu'on arrive à avoir les copies des contrôles corrigés pour demain... t'es partante, assistante favorite ? »

« Toujours partante, oui. »

Les contrôles corrigés.. Oh yes. Ou l'art d'avoir une bonne note sans apprendre. Mais ça, on le fera après avoir prit et planquer les sous-vêtements.

« Aurais-tu quelque chose à rajouter ? »

« Non. Tout est parfait. »

Oui, tout l'est. C'est drôle. C'est discret. C'est trompeur aussi. C'est juste génial en fait. Finalment, le petit Avery n'est pas aussi débile qu'il le montre, avec sa bouille de gosse.

« Sinon, je sais qui va être notre première victime. »

Tu tournes la lampe vers le lit d'un garçon prénommé Warren. Après tout, c'était un garçon. En espérant qu'il ne dorme pas avec ses sous-vêtements en tout cas.

« J'ai directement pensée à lui, comme c'est mon coloc' de chambre.. C'est le plus près. Sinon, t'as pris un marqueur ? Si t'en a pas, c'est pas grave, il doit y en avoir un dans ma trousse sur le bureau. »

Te te diriges vers le bureau, tu ouvres la trousse et prends le marqueur noir. Tu le donnes à Avery.

Tu finis par ouvrir une armoire semblable à la tienne, mais qui n'est pas la tienne. Tu regardes les t-shirt, ce sont des t-shirt de garçons. Au moins, tu ne t'es pas trompée d'armoire. Tu commences à fouiller. Un caleçon, un.

« Je crois que j'ai trouvée où sont les sous-vêtements. Tu peux regarder si il en porte ? Faurai éviter d'en laisser un, tu comprends.. »

C'était sadique, vraiment. Mais si il en porte sur lui, fallait bien l'enlever, non ? Tu grimaces encore une fois. Tu t'y colleras pas en tout cas. Tu laisseras Avery faire. C'est un garçon lui. Puis penses un peu à la déception de Warren, s'il apprends qu'une fille l'a zieuté. Tu veux même pas y penser. Il va se sentir honteux. T'espères juste que Avery se moquera pas trop de lui.

La seule meuf qui souris dans le noir en cherchant des sous-vêtements ? C'est toi Lalie.

« Tiens, en voilà quelque uns. Mets les dans mon armoire en attendant. Au fond de l'armoire si possible, histoire que ce ne soit pas visible.»

Tu lui donnes les sous-vêt'. T'essaies d'en laisser aucun dans l'armoire. Ce serait idiot qu'il en reste un, juste pour le lendemain. Tu fouilles encore. T'enfonces tes bras dans l'armoire pour être sûr que t'as tout pris. Oui, c'est bon, il n'en reste aucun. Que des t-shirt et des pantalons.

« Alors, il en a sur lui ? »

T'attends même pas de savoir que tu te diriges vers le lit et que tu soulèves doucement la couverture.

« Oui, il en a sur lui.»

T'es déçue. Tu te demandes « Pourquoi ? ».. Puis t'as une idée. Tu vas chercher la paire de ciseaux, et tu coupes le pantalon. C'est fou. C'est gamin. C'est débile, mais ça marche. Pauvre pantalon quand même. Il lui reste son caleçon. Finalement, tu vas t'arrêter ici.

« Hm.. On fait comment maintenant ? »



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Avery Leroy

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Dernière édition par Avery Leroy le Sam 8 Sep - 21:59, édité 1 fois
MessageSujet: Re: Je suis le roi, le roi des cons —   Je suis le roi, le roi des cons — EmptyMar 4 Sep - 23:20


AVERY&LALIE


sur la terre en toute saison


Tout était parfait. Le plan d'Avery était parfait. Avery en lui-même était parfait. Narcissique jusqu'au bout, lui-ci se craqua les doigts juste avant de commencer la partie qui venait de débuter. Lalie était vraiment la candidate idéale pour y participer, mais pas que. Non. Les victimes masculines allaient bien porter un boxer sur eux, ça devenait peu probable de pouvoir y parvenir, et pourtant, son esprit stratégique trouvait toujours un moyen. Wendy. La solution, le somnifère humain, elle était adaptée à la situation, il fallait à présent la chercher. Cette fille arrivait à endormir son entourage rien qu'en ouvrant la bouche, c'était à la fois drôle et utile, surtout pour Avery. Le regard amusé, il observait Lalie fouillait dans les affaires de la première victime sous le nom de Warren, le colocataire de celle-ci. Elle était diabolique, c'était si excitant cette atmosphère, le gamin en prenait vraiment goût et y mettait à présent du sien.

Il s'approcha de l’étrange inconnu, il ne savait ni à quoi cette personne ressemblait, ni comment il allait s'y prendre, mais allait de toute manière procéder sans sa future complice-somnifère qui se situe à l'autre bout du couloir. N'essayant pas de jouer aux fous, il arriva près du garçon, la main à présent sous la couverture. Il avait pris avec lui la même paire de ciseaux qui avait découpé le pantalon, il était plutôt costaud visiblement. Longeant le long parcours pour atteindre enfin sa cuisse, le contact glacial entre le corps du garçon et la main d'Avery firent que la réaction soit d'avoir légèrement bougé la tête, coupant sa respiration le maximum. Étirant légèrement l'élastique du boxer, il y glissa les ciseaux et d'un coup, coupa le tissu entièrement. Sans ces deux parties coupées, le boxer ne pouvait tenir, ça revenait au fait qu'il n'ait plus aucun sous-vêtement (oui, il peut le faire tenir en faisant des noeux de chaque côté, mais quoi de plus ridicule de porter un string avec deux boules de chaque côté ? Oui parce qu'un boxer, lorsqu'on le raccourci, ça devient petit.). Le plus drôle ? C'est qu'après avoir vite récupéré sa main ainsi que sa respiration, il sortit de son sac un rouleau de scotch pour ensuite enrouler le garçon dans sa couverture. C'est qu'il avait sacrément le sommeil lourd pour ne rien entendre ! Tout en marmonnant une chansonnette, il fit un clin d'oeil à son assistante, l'autorisant d'embarquer les boxers dans un sac-poubelle spécialement conçu pour tous les accueillir.

« Voilà...»

Il était à présent complètement emballé dans son lit, un vrai boudin. Attrapant son marqueur, il avait des paillettes dans les yeux, le coeur en joie. Débouchant celui-ci, il approcha son visage du garçon et lui fit un pénis en érection sur le front, avec bien entendu les petits poils frisés qui se barraient un peu en couille.

« Les... ninjas... sont... passés... par-là... ♥.»

Il avait à présent terminé sur la première victime. En position warrior, il jeta sur la figure du garçon endormie une chaussette sale sur ses yeux, au cas où il se réveillerait.

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Lalie Ashford

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MessageSujet: Re: Je suis le roi, le roi des cons —   Je suis le roi, le roi des cons — EmptyJeu 6 Sep - 19:56


Nous sommes des héros.
Avery & Lalie.


T'as envie de rire. Tu rigole tout le temps, mais là, c'est terrible, il faut que tu te retiennes pour ne pas réveiller tout le monde. D'ailleurs, tu te demandes comment Warren fait pour encore réussir à dormir. T'imagines sa tête quand il va se réveiller.. Non, n'imagines pas, tu vas rire trop fort.

« Voilà...»

Tu tournes ton regard vers le lit. Mon dieu, emballé comme un papier cadeau. Tu te demandes comment il va faire pour sortir. Enfin à force d'y penser, tu t'en fiches. Chacun ses problèmes. Ensuite, Avery ajoute sa petite touche personnelle, un dessin. Mais pas n'importe quel dessin. Tu souris, comme une gamine qui à réussis à avoir ce qu'elle voulait. Ce genre de petit sourire moitié innocent, moitié sadique.

« Les... ninjas... sont... passés... par-là... ♥.»

Oui, ils sont passés par là. Et ils n'ont pas encore finit leur coup. Ca va bientôt être au tour de la chambre numéro deux. Le futur problème va être ; Comment allons-nous faire pour ne pas les réveiller ? Parce qu'avouons le, Warren a le sommeil lourd, on peut faire n'importe quoi, il ne se réveille pas. Mais tout le monde n'est pas comme lui.

Sauf si.. Tu regardes Warren avec ton air sérieux, histoire d'avoir l'air de réfléchir. Tu as une idée. Et une bonne. Avery et toi connaissez Wendy. Une fille qui par la parole endort les gens. Ce serait utile.

« Est-ce que tu penses à ce que je pense ? »

Il est évident que oui. Si toi tu peux y penser, lui aussi. A moins qu'il n'y ai déjà pensé. Ca ne change rien.

« Tu penses qu'on peut aller chercher Wendy, qu'elle ne râlera pas ? »

Qui ne tente rien n'a rien. Même si Wendy refuse, tu ne reculeras pas à l'idée génialissime de ton ami. Elle est trop géniale pour être abandonnée. Puis elle à été commencée. Vous devez la finir.

« J'emmène du chloroforme au cas où. »

...Pourquoi t'as du chloroforme dans tes affaires toi ? Finalement, t'es flippante comme fille. Rien ne t'arrêtes. Quand tu veux faire quelque chose, tu le fais. Quand tu veux dire quelque chose, tu le dis. Quand tu veux quelque chose, tu l'as. Et ça, à n'importe quel prix. T'es décidée à vivre heureuse, et pour être heureuse, il faut que tu aies ce que tu veux. C'est ton but dans la vie, finir heureuse. Mais après tout, ne l'es-tu pas déjà ? Tu as deux-trois amis par-ci par-là, un toit, à manger, tu as tout pour être heureuse, tout. T'es chiante en fait.

Sinon, si ton idée fonctionne et que la prénommée Wendy accepte de venir, faut être prévoyant, les bouchons d'oreilles, en autre therme. Bah oui, si elle parle, comment tu fais pour rester éveiller ? Et bien tu ne restes pas éveiller. En revanche, avec les bouchons d'oreilles, tu ne l'entends plus. Prends en deux paires, Wendy n'en aura pas besoin. Il manquerait plus que ça, qu'elle s'endorme toute seule.

Tu te diriges vers la porte. Tu adresses un petit regard à ton coequipier avant de tourner lentement et doucement la poignet de la porte de chambre. Et tu sors dans le couloir, à la recherche de la chambre de Wendy. Comme des espions, mais en mieux.

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Avery Leroy

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MessageSujet: Re: Je suis le roi, le roi des cons —   Je suis le roi, le roi des cons — EmptySam 8 Sep - 22:21


AVERY&LALIE


moi je tourne en rond, je tourne en rond


Warren était maintenant emballé et pesé. Le tour était terminé, et il ne voulait pas tarder sur celui-ci. Faisant tourner son marqueur dans la main comme les cowboys font avec leurs flingues, il s'éloigna petit à petit du corps encore endormi. Le nez lui démangeait sévèrement et interdiction d'éternuer sauvagement comme le faisait le garçon. On pouvait entendre cette mélodie derrière cette scène humoristique, ce piano qui annonce l'arrivée des méchants avec un léger air de sadisme. C'était drôle, ouais, pour eux.

Les deux jeunes gens se regardèrent au même moment, et c'est en coeur qu'ils entreprirent la même phrase.

« Est-ce que tu penses à ce que je pense ? »

Un franc sourire s'était élargi sur le visage de l'anglais, très satisfait de son assistante qui lisait visiblement dans ses pensées. Dans un délire fou et curieux, il s'imagina alors qu'elle lisait vraiment dans ses pensées et imagina alors. Quel dialogue de malade ! Ce serait cool en fait. C'est dans un univers parallèle qu'Avery commença à partir ailleurs, le trait de bave limite qui dépassait de sa bouche. Il était fatigué, excusez-le.

« MAAAAAIS NON, WENDY RÂLE JAMAIS. »

C'est alors que lorsqu'il croyait que cette phrase était restée dans ses pensées qu'il se couvrit la bouche à l'aide d'une chaussette. Il venait de gueuler dans la chambre comme un attardé, plus crétin tu meurs. Warren fit signe de vie, visiblement il avait entendu. Dans une geste héroïque, le garçon sortit de sa poche arrière une bouteille, plus précisément du chloroforme qu'il avait emmené, coïncidence. Se jetant sur le garçon qui commençait à se réveiller, il lui fit gober une chaussette qu'il avait précieusement infusée de produit, même un peu trop. C'était immédiat, le cochon ronflait comme un ogre. Heureux, il regarda alors la demoiselle et plaça son doigt devant sa bouche, faisant signe de silence. Marchant comme un astronaute en travers de la chambre, il ouvrit la porte et sortit, faisant sortir Lalie avant lui pour ensuite la fermer. Le doigt toujours situé au même endroit, il soupira alors, frottant son front au revers de sa main.

« Oh putain on a eu chaud. Wendy ? Ok, on va la chercher. Prends une nouvelle bouteille de chloroforme, je viens de vider la mienne sur la chaussette. »

Ouais, il venait de vider une bouteille ENTIÈRE, histoire de le terminer, pauvre garçon. Il allait se réveiller certainement avec un mal de crâne le lendemain. À présent dans les couloirs, il alluma une lampe torche.

« Où est sa chambre déjà ? »

Non parce que sérieusement, il avait un sens de l'observation pourrie. Surtout la nuit.

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