}Tes yeux reflètes le désespoir qui arme mes pensés. `pan

• NOM COMPLET: Wendy Ember. • ÂGE: 17 ans. • ORIGINE: Anglaise. • LIEU DE NAISSANCE: Liverpool. • DATE DE NAISSANCE: 25 Décembre. • SURNOM: Didi l'Haricot. • SITUATION FINANCIÈRE: Aisée. • POUVOIR: Somnifère Vocal. #Ouais mais t'peux pas dodo quand j'parle. Sinon j'te mange. )8B • PHOBIE: LES PAPILLONS. :suicide: • TOI EN QUATRE ADJECTIF: #Provocante #Grossière #Non-chalante #Insouciante.

Elle est tout et rien. Une peste comme un ange. Tantôt aimable, tantôt salope, c'est à son humeur. Un peu comme la pluie, Wendy n'est pas fiable à 100% quand elle avance quelque chose. Elle vous dois de l'argent? Attendez quelques années ou décennies avant d'avoir le compte. Elle avait promis un rendez vous? Elle y viendra seulement si l’intérêt y est. La confiance c'est tout sauf son domaine, elle n'y connait rien et ne cherche pas à le convoiter de toute manière ! Oh bien sûre, mademoiselle a ses moments tendres. Elle peut sauté au cou d'un inconnu pour lui susurrer des mots d'amour, attendrir qui veut bien l'entendre pour obtenir gain de cause, c'est un jeu perpétuel sans règles, justes des cases. Elle n'était pas toute active avant, non. C'est avec ces évènements récents que Wendy avait perdu vivement le contrôle de ses pensées, au point d'en devenir une peste, franche et fière d'elle. Bien loin de ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas le genre de fille qui se laissera attendrir devant un doux film durant lequel sa main serait caresser avec envie et douceur, la gène ne la dérange pas : elle se lèvera pour riposter sans problème. Pour faire court ? Ce n'est pas le genre de fille fréquentable et amicale de bonne société.

Ses parents la disent patiente et agréable, son entourage pestive et de mauvaise graine, ceux qui la regardent original et sans regret. Elle ne se qualifie qu'étant une pétasse des plus mégère, et recevoir ces compliments ne la gène pas. Dans cette courte adolescence elle a apprit deux choses : vivre pour sois-même, ne jamais avoir de regret. Ô oui elle en a fait des conneries qui mériterait des tapes sur les doigts, mais dans le fonds elles n'étaient qu'un apprentissage de plus. Vagabonder de rue en rue, rencontrer l'improbable et lui faire une révérence en glissant malicieusement ses mains pour y soutirer monnaie et gratitude alors que ses moyens lui suffisait, c'était le genre de chose que mademoiselle était adepte à faire. L'argent ne manquait pas et son esprit l'avait bien en tête, l'amusement est une source bien plus agréable. La solitude la guette mais elle s'en ai faîte une amie.

Oui, Wendy, c'est pas la demoiselle la plus polie et gentille du monde, mais c'est une femme aussi. Elle sait s'habiller en fonction de ses formes généreuse, et sait tout autant y cacher ses défauts. Son corps; elle le connait par coeur, et c'est une bonne chose. Ses longues gambettes lui sont une arme de qualité qui lui offre un confort absolu à ses pieds, vu que les talons ne sont pas une nécessitée. Ses cheveux n'étaient pas aussi soyeux qu'il le fallait, le démêlant était bienvenue! Et toutes ces choses, ces ongles rongés, sa poitrine un peu trop volumineuse qui l'agace au niveau pratique, sa peau pale qui lui donne un air malade, et puis sèche, aussi.

j'aime pas écrire. :suicide:

Bourges. Des conditions bourges. C'est là où elle a vécu, grandit, apprit. Enfin, apprit les bonnes manières. C'est chiant d'être assise sur une chaise à écouter les parents déblatérer sur un sujet finance inutile : puisque nous avons déjà tellement ! C'était si gavant que j'en devenait sourde. Elle avait commencé à vivre comme ces racailles qui traînaient en bas du bâtiments en attendant qu'on jette le pain. C'était la société d'aujourd'hui, ça? En blablatant avec eux on en vient vite à comprendre qu'enfaîte, les Embry, c'est des enflures. Son père à lui n'avait plus de boulot, son père à lui aussi, et la mère de celui là était veuve. Parce qu'on avait acheter des commerces et foutu à la porte des employés, elle y croyait pas.

Et puis s'en ai suivit ce qui s'est passé. Ils papotent, au final deviennent amis, et elle se met à ces jeux stupides. Piquer le porte feuille de lui, faire peur à l'autre, boire de la bière. C'est tellement plus amusant, et tellement plus juste. Elle aurait du finir comme ces parents qu'elle ne supporte. Une adolescente mal dans sa peau, au final c'est plus sympas les conneries. Aller pas la juger, aller pas lui inculquer les bonnes manières : elle connait la chanson par coeur. Déjà vu, revue, et encore du replay. Arrêtez de vous casser la tête, vivez l'instant présent? Il y a tellement de bonne personne dans le monde, l'ombre n'est pas si mal. Faire des petits délits fiche un équilibre bien bon? Au final elle ne savait pas, elle s'en fichait. Tout ce qui l'importe, ce de ne pas être comme eux.

Ces messages. Plus récents les uns que les autres, fréquent, à vous rendre fous. Elle était froide, un glaçon, l’iceberg. Et pourtant c'était stressant, de ne pas savoir d'où parvenez ces messages. Chut, tais toi, elle n'en pouvait plus. Être agressée sans pouvoir se défendre était insupportable.