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 Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel.

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Phyllis Holwhim

Phyllis Holwhim


Messages : 49
Date d'inscription : 15/08/2012

Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel. Empty
MessageSujet: Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel.   Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel. EmptyJeu 30 Aoû - 21:04








NOM COMPLET: Phyllis Holwhim. • ÂGE: 15 ans. • ORIGINE: Anglaise. • LIEU DE NAISSANCE: Sidney.. • DATE DE NAISSANCE: Un 25 Avril. • SURNOM: / • SITUATION FINANCIÈRE: Normale. • POUVOIR: Malédiction • PHOBIE: Le noir. • TOI EN QUATRE ADJECTIF: Rêveuse, mythomane, solitaire, naïve.. mais bien plus.








Telle l’aube, tu te montres timidement au lever du soleil, puis tu disparais à mesure que les gens viennent. Dans quel monde vis-tu, Phyllis ? Celui où rien ne se voit. En es-tu contente ? Pas vraiment. Peux-tu affirmer avec vraisemblance que tu détestes les autres ? Pas vraiment. Tu ne ressens ni haine, ni pitié, ni colère, ni bonheur ; juste ce sentiment diffus que tu n’appartiens pas à cette vie de soleil. Alors tu t’évapores, alors tu t’enfuis, et tu deviens cette poussière qu’on expédie au loin.

Mais à quoi ressemblent tes expéditions, Phyllis ? Où vas-tu, lorsque nul ne t’aperçoit ? Que fais-tu ? Tu caches tes extravagances derrière des « Rien » à répétition. Mais personne n’est dupe, on sait bien ce que tu fabriques. Tu aimes d’un amour éperdu. Tu chantonnes doucement, tu te poses contre un arbre, tu « le » laisses t’envahir toute entière. Le silence. Profond et insoluble, tu te complais à rester là, sans rien dire, sans rien faire, à regarder le ciel.

Car le ciel, c’est ta vraie destination. Tu t’envoles, tu décolles, plus haut que jamais. Même si tu n’as pas d’ailes, ni même de vaisseau. Pas besoin, hein ? Il suffit de penser qu’on est loin de tout, hors de ces murs, hors de cette solitude qui nous agresse. Il suffit de s’imaginer dans ce monde où les rêves se réalisent, quels qu’il soit. Oui, ce petit endroit dans ta tête qui n’appartient qu’à toi et toi seule. Toi, tu l’appelles simplement « le lieu où il fait toujours beau » où « utopie ».

Enfin, pour eux, tu restes simplement Phyllis. Phyllis, la timide qui ment tout le temps, raconte un peu n’importe quoi, est dans la lune, et n’est pas intéressante pour un sou. Phyllis qu’on n’aime pas, ou qu’on apprécie un peu, mais à qui on ne cherchera pas trop des noises. Pourquoi est-ce qu’on ne t’énerve pas, dis-moi ? Tu ne sais pas, ou c’est juste que tu préfères ne pas avouer. C’est dur, hein, d’admettre qu’on n’est pas assez intéressant pour être embêté ? C’est douloureux, n’est-ce pas, de savoir qu’on peut disparaître sans inquiéter qui que ce soit ? Non, tu répondras.

Parce que tu mens mal. Si tu veux cacher la vérité, Phyllis, fais-le quand la situation s’y prête, pas à chaque question qu’on te pose. Cela ne sert à rien de répondre « non » lorsqu’on te demande s’il pleut tandis que la pluie ruisselle sur tes cheveux de jais. Futile, de hocher positivement lorsqu’on veut savoir si la classe A est ici alors qu’il y a écrit C en gros sur la pancarte. Enfin, on a appris à ne plus rien te demander.

Et toi, qu’est-ce que tu demandes ? Rien non plus. Tu préfères te perdre dans l’école plutôt que d’accoster quelqu’un pour savoir où est ta classe. Oh, souvent tu finis par trouver… au bout d’une heure. Soit parce que tu as oublié et que tu t’es intéressée à autre chose d’hautement plus passionnant tel que la contemplation d’une feuille de papier qui s’envole par la fenêtre, soit parce tu faisais ça avec la motivation d’un poulpe.

Malgré tout, tu as des qualités. Si tu n’es pas spécialement dégourdie et sociable, tu n’es pas méchante pour autant. Oh, au contraire. Tu es d’une naïveté et d’une gentillesse sans borne. Ou presque. On ne te fera pas le « gros câlin de l’amitié » sans que tu le repousses froidement, mais tu aides volontiers tes camarades lors des révisions et des exercices. À condition qu’on soit poli, cela va de soi. Parce qu’on t’a toujours dit qu’il n’y aurait rien pour ceux qui ne demandent pas gentiment quelque chose, et que tu appliques toujours ce principe.

Finalement, qu’est-ce qu’il te reste à dire sur toi ? Phyllis qui s’envole, qui s’évapore, qui ment, qui ne demande rien, qui est dans la lune, qui accepte tout ou presque… Ah, si, il reste bien ce petit quelque chose dont tu ne parles pas trop. La peur, Phyllis, et tu ne peux prétendre être amnésique. Quand plus aucune étoile ne s’allume, quand la lumière s’éteint, quand il ne reste que le noir. C’est pour ça que tu souffres, c’est pour ça que tu ne veux pas dormir. Ou pas sans la porte ouverte et la veilleuse juste à côté. Tu ne crains pas la nuit, cependant ; tant qu’une lueur subsiste, quelque part, ça suffit. C’est bon.

Pourquoi cette phobie du noir ? Parce que tu as peur qu’on t’éteigne comme une lampe de chevet. Qu’on te débranche, qu’on te rende inutile, qu’on te laisse de côté. Tu es un paradoxe vivant, parce que tu fais tout pour atteindre un but que tu ne voudrais sûrement pas voir arriver. Tu t’éloignes, tu t’envoles tel le papillon qui sort de son cocon, t’élançant vers cet inconnu si lointain. Alors que toi, tu agis telle une larve, qui reste toujours auprès des autres.
Malgré tout, oui, Phyllis, tu n’es pas encore prête à t’envoler. Tes ailes, tu les vois juste en rêve. En rêve inatteignable.









DES RACINES...

Longez Whisher Street, admirez ses maisons toutes symétriques, dont le crépis jaune s'effrite légèrement, et ses lilas entretenus toute l’année pour vous offrir une vue un tant soit peu moins affreuse. Arrêtez-vous à l'avant-dernière demeure, celle dont la boîte aux lettres rouge est bossue et sale. Bien, poussez le portail et toquez deux fois à la porte en bois. Rien ne vous permet de voir à quoi ressemble l’intérieur ; pas même le trou de la minuscule serrure. Après deux minutes d’attente, l’on viendra très certainement vous ouvrir joyeusement, si tant est que la maîtresse de maison soit présente. Maintenant, elle vous fait son grand sourire, qu’elle vous connaisse ou non. Elle vous invitera à prendre un verre pour combler l’ennui qui la dévore ; ne refusez pas, de toute façon elle vous harcèlera jusqu’à ce que vous acceptiez de passer un petit bout de temps en sa compagnie.


Ce qu’elle vous racontera ? Oh, plein de choses. Les déboires de son mari : jamais là, toujours ailleurs, elle-même ne sait pas bien quel métier il exerce. L’orgueil de son patron, sûrement vous en fera-t-elle toute une histoire. Pourquoi reste-t-elle à la main alors qu’elle est infirmière ? Congé maternité, encore. Sans plus d’explications, elle s’empressera de revenir à un sujet qu’elle préfère si vous lui posez la question. Tout ça d’un naturel que vous aurez peine à discréditer. Peut-être vous parlera-t-elle de son rêve de former une grande famille, peut-être vous mentionnera-t-elle sa passion pour tout ce qui s’envole, tels les oiseaux ou les montgolfières. Là, profitez de l’occasion, et demandez-lui si elle a des enfants.


Si vous la trouviez bavarde précédemment, vous ne saurez plus comment la qualifier. Elle déversera sur vous un flot de parole tel que vous n’en comprendrez probablement pas la moitié. Ses phrases, pour la majorité interrompues au beau milieu par un « ah, et aussi… ! » ne prendront pas le temps de s’imprimer dans vos oreilles. Ce qu’il vous faut retenir, c’est qu’elle a trois filles qu’elle chérit plus que tout au monde. L’ainée, Félicité, est sans aucun doute la plus intelligente ; elle fait de brillantes études en université. Sa cadette, Phyllis, une peu renfermée et naïve ; mais probablement celle qui se rapproche le plus de la personnalité de sa mère. Votre hôte soupirera en pensant à Mary, la petite dernière : une vraie pile électrique. Puis elle se mettra à rire, vous relatant des bons souvenirs, avant de terminer par la réponse à une question que vous vous posiez intérieurement : elle attend un garçon, qui va naître très prochainement.


Se calant dans le fauteuil, elle commencera à vous interroger. N’évitez surtout pas ses questions, elle pourrait bien se fâcher. Détaillez-lui votre vie lorsqu’elle vous le demandera, sans essayer de mentir. Passé l’entretien, soit elle continuera à vous parler, soit elle vous congédiera et vous souhaitera une bonne journée. Peut-être désire-t-elle garder un tant soit peu secret ce qu’elle va désormais le raconter, peut-être vous jaugeait-elle pour savoir si vous pouviez lui faire confiance.
Vous êtes toujours là ? Si mes conseils ont été suivis à la lettre, ce que j’ose espérer, alors elle vous aura sûrement tendu un biscuit chocolaté. Son préféré. Une marque importée tout spécialement d’Afrique et qu’elle se plait à offrir à ses invités de marque ; oui, vous êtes devenu, sans vous en rendre compte, son confident. Si elle décidé de se rafraîchir en allant sur la terrasse, enlevez vos chaussures et suivez-la discrètement, peut-être vous racontera-t-elle son histoire à présent. Une fois que vous êtes de nouveau installé, posez-lui doucement la question qui suit.


« Pouvez-vous me parler de Phyllis, s’il vous plaît ? »
Si vous avez été poli, alors elle inspirera profondément et commencera son histoire.


....ET DES AILES.

Phyllis, qui es-tu ? Pourquoi cours-tu à travers les champs sans jamais t’arrêter ? Pourquoi ton rêve est-il une prairie aux fleurs fanées ? Pourquoi ton paradis est-il un escalier où les marches disparaissent à mesure qu’on y monte ?
Tu es la malédiction vivante qu’on fuit sans s’en rendre compte. Chaque pas que tu fais contribue à pourrir la vie d’une personne. Depuis que tu as sept ans, on t’a plus de fois dit qu’un membre de ta famille avait eu un accident que tu as lu un magazine science et vie, auquel tu es abonnée. Et tu as facilement passé huit années sans t’en soucier. « C’est normal » répétais-tu à chaque fois que quelqu’un évoquait la malchance qui menace les Holwhim. Personne n’a cherché à savoir pourquoi tout va bien chez toi et pas chez les autres, pourquoi il existe une salle spécialement dédiée à l’exposition de plâtres ou de pansements en tout genre chez toi. Alors, pourquoi n’as-tu pas vécu dans l’insouciance ? Pourquoi ne t’es-tu pas leurrée jusqu’à ce que tout le monde crève ou finisse paralysée à vie ?
12 Avril 2012. Témoignage de Barnaby, facteur de Sidney. « Ben, ce matin, j’ai dû leur livrer une lettre. Très lourde, avec plein de timbres et des machinchouettes, je sais pas trop. J’ai pas rechigné, hein, parce que sinon adieu le salaire, et qu’en plus je suis toujours bien accueillie par Céc’. ‘Fin vous savez, la femme du Holwhim, Cécilia, moi je l’appelle Céc’. Bref, j’suis arrivé devant la porte, et j’ai toqué. Comme d’hab’. Pour une fois, c’tait pas Céc, j’étais dég. C’tait sa fille, je crois, l’a des cheveux noirs très longs et elle parle pas tellement, ou pour dire n’importe quoi. Ah, oui, ensuite ? J’y viens, j’y viens, c’pas la peine de me presser. Je lui ai tendu le paquet sans plus de façon et je suis parti. Je suis à peu près sûr qu’elle l’a ouvert. Pi l’vait pas l’air très contente. Fin après, je sais pas, oubliez. T’façon, je dois y aller, laissez-moi vous faire une dernière confidence. Faut bien, monsieur, me regardez pas avec cette tête-la. C’me fait pitié. Bref, avant que je me casse et retourne taffer, je l’ai entendu parler. Malédiction, qu’elle a dit, ahah. Je crois qu’elle a refermé la porte ensuite. Mais, euh, j’ai pas vérifié, heeein. »


Témoignage de Frida, la voisine. « J’écoute pas aux portes, vous savez. Ou pas tellement. Ou pas toujours. Vous prenez un café ? Tout à l’heure, j’étais à ma fenêtre, je regardais les oiseaux faire leur nid sur le toit des voisins. Aaah, pourquoi ne viennent-ils donc pas sur le mien ? Vous prenez du sucre ? Donc, où en étais-je… ? Ah, Phyllis. Vous la connaissez ? Elle est un peu tête en l’air, pas spécialement idiote, mais totalement à l’ouest. Elle ne parait pas comprendre elle-même ce qu’elle dit, alors oui, il faut être patient pour pouvoir la cerner. Il faut lui demander deux fois si elle va bien pour avoir une réponse. Je ne pense pas qu’elle soit méchante, cependant, mes yeux de vieille sont-ils bernés par ces grands yeux sombres ? Je m’égare ? Soit. Phyllis était là, elle aussi à sa fenêtre, un papier à la main. Je sais qu’elle bouquine souvent, néanmoins c’est sûrement la première fois qu’elle reçoit une lettre. (autre qu’un avis de décès ou une carte postale de l’hôpital) Et, je ne sais pas ce qu’elle contenait, mais à mon avis, rien de bon. Oh, oui, elle pleurait, du moins à sa façon : son regard livide a supplié les oiseaux de l’emmener. C’est comme ça qu’elle est triste, en battant des ailes. Aucune larme, aucune plainte, juste ça. La lettre ? Elle l’a juste posée dans un coin, sans rien dire, sans rien faire, alors que n’importe qui l’aurait cachée ou déchirée. Mais c’est Phyllis, elle est dans ce monde où ce genre de choses n’a plus aucune importance ; il faut la laisser rêver encore un peu. Ce que n’a sûrement pas fait l’expéditeur de la lettre, si vous voulez mon avis. Briser un rêve, ça devrait être interdit, même pour Addison Worthington. Comment je le sais ? Il y a des choses que vous apprendrez en temps voulu. Maintenant, je dois y aller. Vous aussi, vous avez mieux à faire, n’est-ce pas ? »


Témoignage de Félicité, grande sœur de Phyllis. « Ça m’a surprise. Vous savez, elle est plutôt timide en temps normal… Non, timide n’est pas le mot ; Phyllis n’est pas timide, elle est juste ailleurs, comme notre père. Lorsqu’elle est arrivée, traînant sa valise, pour nous annoncer qu’elle partait, j’ai ri ; mais ri de fierté. Ri de bonheur. Ri qu’elle nous annonce quelque chose pour la première fois. À 15 ans, Phyllis a pris sa première décision. Je ne sais plus où elle comptait aller, ce qu’elle voulait faire, je crois qu’elle a parlé d’un pensionnat. Et des kangourous, enfin, de l’Australie. Un mystérieux individu lui avait visiblement envoyé un billet d’avion. Quelle histoire, je vous jure, ça défiait toutes les lois de la logique ! Qu’est-ce que ce milliardaire excentrique voulait ? C’est la question, monsieur, que nous nous sommes tous posés. Vous avez probablement déjà interrogé Barnaby, le facteur, et Frida, la voisine. Dans quel but ? Vous aussi, vous êtes bizarre. Phyllis n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan, un grain de sable insignifiant, alors pourquoi ? Pourquoi prend-elle hâtivement l’avion, bagages en main, en direction de Worthington ? Riez, monsieur, riez avec moi. Un don, vous dites ? Elle n’a jamais été intelligente, jamais particulière, comment pourrait-elle être différente de vous et moi ? Phyllis n’est pas soleil, si elle doit être quelque chose, alors elle sera un fantôme errant. »
Maintenant, Phyllis, tu es loin. Où vas-tu ? Il y a plusieurs endroits, mais il ne restera toujours qu’une Lune et qu’un soleil. Où que tu sois, tu auras toujours les yeux rivés vers le ciel, même si tu te briseras avant de pouvoir l’atteindre.

UN MORCEAU DE SOLEIL

Je repose ma tasse sur la table. Mon livre est presque terminé, et pourtant il reste encore une grande partie des questions que j’avais avant de commencer. Je me suis rendu chez sa mère, j’ai interrogé ses proches, j’ai recueilli des informations et émis des hypothèses. Pourquoi est-elle partie ? Quel était le contenu de cette fameuse lettre ? Phyllis emportera ces secrets dans son ascension vers ce ciel qu’elle ne peut atteindre.

Je me relève et regarde le paysage par la fenêtre. La rue, toujours encombrée, me semble tout à coup monotone. Je ne vois plus que ce bleu qui envahit l’atmosphère, et ces nuages blanchâtres que le vent semble porter encore plus loin. Mes yeux se posent sur tous ces gens qui traversent la rue sans se soucier de lui. Je lève ma main vers cet horizon infini, et laisse les rayons ensoleillés passer entre mes doigts. Jamais je n’avais trouvé cette chaleur aussi agréable. Je reste un long moment-là, à sentir le feu de la vie qui brûle en moi depuis ma naissance. Phyllis, le ressens-tu ? Comprends-tu toute cette vie qui t’habite ? Tu n’es pas une fleur ensorcelée, ni un oiseau aux ailes brisées. Parce que, toi aussi, tu possèdes un morceau de soleil au fond de toi. Et il brille probablement de mille feux.






phyllis ça me va bien, en plus c'est joli


Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel. MusicalPanties-Stock0001538611
AGE — Il me semble avoir parcouru du chemin, pourtant je n'ai fait qu'une infime partie du trajet. (en gros, devine)
SEXE — Fille.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? — Question à méditer. Comment un bébé a-t-il connu ses parents ?
SI TU TE FAISAIS ATTAQUER PAR UNE TAUPE LORS DE LA PLEINE LUNE, QUE FERAIS-TU ? — J'appelle Léguman.
AUTRE CHOSE DE PAS PERTINENT A AJOUTER ? — Chouette ta question Nemo. :b






Dernière édition par Phyllis Holwhim le Sam 1 Sep - 20:25, édité 11 fois
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L. Nemo Lawlet
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MessageSujet: Re: Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel.   Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel. EmptyJeu 30 Aoû - 21:21

eheh bienvenue. (a)

alors pour la naïveee Phyllis, je propose :
- MALÉDICTION, j'pense qu'il irait bien à Phyllis, je sais pas pourquoi. xD
- INTANGIBILITÉ, parce que je vois bien la petite Phy s'amuser avec.
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Phyllis Holwhim

Phyllis Holwhim


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MessageSujet: Re: Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel.   Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel. EmptyJeu 30 Aoû - 21:33

Après moult concertations, j'opte pour la malédiction ! **
Reste plus qu'à rédiger la suite.
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L. Nemo Lawlet
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MessageSujet: Re: Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel.   Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel. EmptySam 1 Sep - 22:02

ahah, c'est drôle de le faire. xD

et bien, ton histoire est très belle, c'était hyper agréable à lire. Les mots coulaient comme ça, et je n'ai pas eu à réfléchir pour comprendre. Voilà Phy, tu peux maintenant officiellement rp, faire ta rs, tout ça, tout ça. ♥
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MessageSujet: Re: Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel.   Phyllis Holwhim • Les yeux rivés vers le ciel. Empty

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