abigail ✘ untitretropbandant

• NOM COMPLET: ABIGAIL MCDONALD • ÂGE: 18 ANS. • ORIGINE: AMÉRICAINE. • LIEU DE NAISSANCE: NEW YORK • DATE DE NAISSANCE : 3 JUILLET. • SURNOM : ABI. • SITUATION FINANCIÈRE: PAUVRE. • POUVOIR: CONTROLE DE L'ALCOOL. • PHOBIE: PEDIOPHOBIE (PEUR DES POUPÉES) • TOI EN QUATRE ADJECTIF : LUNATIQUE, DROGUÉE, MÔLE, VULGAIRE.

Ancienne droguée, alcoolique ainsi qu'anorexique, Abigail a fait une crise d'adolescence puissance 10. Ayant été jetée à la porte de chez ses parents, celle-ci fut élevée dans les rues de New York, en tant qu'SDF. Elle n'a pas peur de se salir, très vulgaire, elle crache dès qu'elle a la moindre salive dans la bouche. Elle fume beaucoup, reste très lunatique par son manque de cocaïne ainsi de cannabis, il se peut qu'elle pète des câbles pour rien. Elle est cool, gentille, drôle, mais très très feignasse. Elle ne se lève que quand elle veut. Elle dort pendant la journée et bouge la nuit. N'ayant pas suivi une scolarité normale, elle est inculte sur les bords, à croire qu'elle a deux neurones qui se battent en duel. Traumatisée par les poupées étant enfant, elle ne supporte pas ces choses immondes et coupe principalement leurs têtes dès qu'elle en croise une. Elle croit beaucoup à la sorcellerie, elle est tatouée un peu partout sur le corps et n'est pas pudique. Son côté garçon manqué la rapproche beaucoup des autres mecs du pensionnat, sinon elle s'entend aussi bien avec la gent féminine, sachant qu'elle-même était bisexuelle durant son adolescence. Elle est à présent asexuelle on peut dire, on ne sait pas ce qui l'attire, mais un coup pour un soir, ça ne lui fait pas de mal. On l'aime, ou on ne l'aime pas, elle ne cherche pas la merde, elle tient trop à ce pensionnat pour y foutre le bordel.

Elle sait écouter son entourage, elle aime rigoler, déconner et sait être sérieuse, même si ça lui arrive pas souvent. Elle ne prend pas les gens pour des cons et peut se montrer franche. Elle possède une bonne technique de combat, ce qui fait que lorsqu'on la cherche, on la trouve, elle n'hésite pas à cogner, même si c'est une fille. Elle garde une façon de pensée positive et protège toujours ses arrières. (elle possède sur elle un couteau de poche.)

Bonjooooooour, très bien, commençons par le commencement. Où êtes vous né(e) ? Décrivez-moi votre famille ; quel genre de relation aviez-vous avec vos parents ? Et avec vos frères et sœurs, si vous en aviez bien entendu ? En fait, je veux tout savoir de votre enfance.

B'jour. Je suis née à New York. Ma famille, enfin. Je possède une mère, un père, et un frère. Je déteste mes parents, ce ne sont que des cons. J'ai repris il n'y a pas longtemps contact avec mon grand frère. Il me cherchait après ma disparition, et c'est en voyant un avis de recherche que j'ai décidé de l'appeler. Depuis, il cache à mes parents qu'il me reparle, je n'ai pas envie de retourner là-bas.

Bien, bien… Un moment vous a-t-il plus ou moins marqué durant cette période ?

Le fait que mon père bat ma mère m'a plus ou moins marqué. Mais c'est surtout le fait qu'il me frappe et que ma mère ne fasse rien qui m'a plus choqué.

D’accord. Et ensuite vous avez commencé votre looooongue et interminable scolarité je suppose ! Comment cela se passait-il ? Étiez-vous un bon élève ou un éternel cancre ? Il me semble aussi que c’est l’âge des premières amitiés. Décrivez-moi vos relations avec vos amis. Un meilleur ami, une bande potes ou le néant total ?

J'ai été retrouvée dehors, je n'ai pas été par conséquent à l'école. J'étais très mauvaise avant de quitter l'établissement. Je jouais la rebelle et je me rappelle même avoir brûlé la classe de mon professeur d'anglais. J'étais très proche d'un garçon, froid et mystérieux, j'étais un peu la seule à lui parler, enfin, qu'il pouvait supporter.

Puis votre pouvoir est apparu ? Rappelez-vous de ce moment précis et racontez le moi en détail, je veux tout savoir !

Je saoule mon entourage. La première fois, je m'en rappelle parfaitement. J'étais avec un professeur, on était que tous les deux alors dans une classe complètement vide. Il me répétait sans cesse qu'il en avait marre de moi. J'étais énervée et alors, le moment arriva où l'homme en face de moi était totalement ivre. Il sentait l'alcool, et pourtant, quelques secondes avant, il n'y avait rien. Il a donc commencé à me toucher, à me forcer, j'avais réussi alors à m'échapper. C'était à la fois traumatisant et horrible.

Ohhhh… Pouvez-vous me le décrire encore plus en détails ? Le contrôlez-vous ? Est-ce qu’il vous plait ? Des avantages, des inconvénients ? Dîtes-moi tout.

Lorsque je veux savoir des choses, ou lorsque je désire ne serait-ce qu'une personne, je l'affaiblis grâce à ce don. Je suis un peu une araignée, je piège mes proies dans une longue toile et je viens à leurs rencontres lorsque le moment se présente. C'est cool, mais, ouais, saoulant. Car le fait que je ne puisse pas m'exprimer sans que mon interlocuteur tombe raide mort, ça m'énerve.

Bien. Vous auriez une anecdote à nous raconter ? Un événement qui vous a marqué, un premier amour, une dispute …

Ce qui m'a marqué, c'est lorsque je suis rentrée de l'école, j'avais alors raconté tout à mes parents. L'attouchement du professeur, ainsi que mon don incroyable. Mon père m'avait frappé à la tête, m'avait tiré par les cheveux et m'avait enfermé dans les toilettes. Ma mère s'était enfuie, j'étais seule, et lorsque j'ai eu l'occasion de partir, je l'ai saisie.

Et Worthington dans tout ça ? (livrez vos avis sur l’établissement, le personnel, les élèves etc. dites aussi comment vous l'avez connu)

Cette école est comme ma nouvelle maison, c'est une nouvelle vie qui s'offre à moi, je n'ai plus rien à perdre.

Oui, oui… Pour finir avez-vous un rêve ? Une ambition quelconque... Oh ! Et dans dix ans comment vous voyez vous, comment imaginez-vous votre vie ?

Je rêve de devenir riche, je suppose. Dans 10 ans... ? Je pense que je serais dans les rues de New York. En espérant que je n'aie pas d'enfants en bas âge sur les bras.